« Et le violon danse Furiant, emporté par une fougue irrésistible ». Au-delà du caractère intrinsèque à la musique tzigane qui réalise un grand écart constant entre la mélancolie et l’allégresse, la danse apparaît comme le fil conducteur évident de cet album. Elle crée du lien par son intensité et ses contrastes rythmiques infinis qui révèlent des émotions variées. Une danse peut contenir une vie entière, avec ses rires, ses larmes, son mouvement perpétuel, ses ruptures, cette imprévisibilité dans le passage d’un état émotionnel à un autre…