Après les « Stabat Mater » de Vivaldi et de Pergolesi, Carlos Mena, le Ricercar Consort et Philippe Pierlot nous livrent celui de Giovanni Felice Sances, plus intime mais tout autant bouleversant, d’un compositeur injustement méconnu. D’autres motets dédiés à la Vierge complètent ce programme, signés par les compositeurs italiens maîtres de chapelle à la cour de Vienne ainsi qu’un « Regina Coeli » de la plume même de l’empereur Leopold I.