La France de la Belle Epoque et de l’entre-deux-guerres oublie les chaos de l’histoire dans l’ivresse du rythme ; mais, en cet « âge de la danse », il n’y a qu’un pas de la fête à la rêverie nostalgique : c’est à un bal crépusculaire que nous sommes ici conviés, où la danse, dans ses formes contrastées, devient le support de nos méditations.