Nathanaël Gouin

Récital, Musique de chambre, Musique Symphonique

Nathanaël Gouin

Paru chez Mirare en septembre 2017, le premier disque récital de Nathanaël Gouin, Liszt Macabre, n’a pas manqué de susciter des réactions enthousiastes des critiques. Pour Diapason, « Liszt Macabre se signale autant par la pertinence du programme que la perfection de la réalisation » alors que, selon Classica (qui lui décerne un Choc), « loin d’effrayer Nathanaël Gouin, ce funèbre registre lui permet d’exprimer tout son talent, lumineux ! ». Incontestablement, Nathanaël Gouin figure comme l’une des voix les plus originales ayant émergé sur la scène musicale de ces dernières années.

Déjà, le magazine Classica le classe parmi les pianistes à suivre de la jeune génération. Lors de sa résidence à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth de Belgique, il reçoit le soutien de Maria João Pires, qui le présente au public dans le cadre du projet Partitura, concept réunissant différentes générations de musiciens dans le partage de la scène, donnant lieu à d’importantes tournées en Europe et au Japon. Nathanaël Gouin est devenu un soliste et musicien chambriste recherché, se produisant en Europe, en Asie, ou encore aux États-Unis.

Il est invité dans des salles prestigieuses telles que la Grande Salle Pierre Boulez de la Philharmonie de Paris et la Cité de la musique à Paris, La Seine Musicale à BoulogneBillancourt, la Salle Rameau à Lyon, Bozar et la Salle Flagey à Bruxelles, sans oublier des festivals tels que ceux de La Roque d’Anthéron, de Radio France et Montpellier, ou encore Les Flâneries musicales de Reims, Piano aux Jacobins à Toulouse, Les Folles Journées de Nantes, Tokyo, Varsovie ou Ekaterinbourg, la Salle Bourgie à Montréal et la nouvelle Scala de Paris.
Dans le domaine du concerto, Nathanaël Gouin cultive un répertoire large et curieux, ce qui lui vaut des collaborations stimulantes avec de nombreuses formations : le Philharmonique de Liège, l’ensemble Les Siècles, le New Japan Philharmonic, l’Orchestre National d’Île-de-France, le Brussels Philharmonic, le Sinfonia Varsovia, ou encore le Chœur de Radio France.

C’est en 2016 que paraît l’enregistrement du Concerto pour piano et orchestre d’Edouard Lalo avec le Philharmonique de Liège placé sous la direction de Jean-Jacques Kantorow (Label Outhere), disque qui reçoit les meilleures critiques. La musique de chambre est évidemment très présente dans sa vie artistique et il est le partenaire de grands interprètes tels que Augustin Dumay, Jean-Claude Pennetier, Michel Dalberto, José Van Dam ou Jérôme Pernoo.

Il a par ailleurs fondé un duo piano-violon avec Guillaume Chilemme, dont les enregistrements Ravel/Canal et Schubert ont été remarqués. Il est fréquemment invité des émissions radiophoniques sur France Musique et Radio Classique mais aussi des Victoires de la Musique classique sur France 3.

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